Dans les villages du Sud-Kivu, les femmes sont les gardiennes silencieuses de la mémoire collective. À travers les chants, les récits et les gestes du quotidien, elles transmettent les valeurs de solidarité et de résilience. Leur présence est une force invisible qui façonne les communautés.

Chaque matin, des filles franchissent les sentiers escarpés pour rejoindre leur école. Dans ces lieux d’apprentissage, l’espoir prend racine. L’éducation devient un acte de résistance, une promesse de transformation portée par les mères, les enseignantes et les leaders locales.

À Kabare et Walungu, les campagnes de sensibilisation ont réuni des milliers de voix. Des femmes, debout, racontent leurs histoires, dénoncent les violences et proposent des solutions. Leurs mots résonnent comme des appels à la justice et à la dignité.